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lundi, juin 28

Défilez 

Allez-y, marchez.
Moi je milite pour mes amours.

Adam-mon amour
Le pont de pierre la nuit-mon amour
Sur la route-mon amour
Le 4sans 40 rue d'armagnac-mon amour
Le jaguar-mon amour
Neil Hannon Our mutual friend mon dieu cette chanson-mon amour
Le Porge-mon amour
Christophe Salzac-mon amour
La place saint pierre-mon amour
Tomber du clic clac en faisant l'amour-mon amour
Le Graves-mon amour
Coloured city-mon amour
Le soleil-mon amour
Le cours de l'intendance-mon amour
Nues sur la plage-mon amour
Faire l'amour-mon amour
La route et les pins-mon amour
La compile du week end-mon amour
Ich möchte ein Eisbär sein-mon amour
Tes doigts sur mon sexe sur la plage devant tout le monde-mon amour
Baiser à 140 à l'heure en plein jour-mon amour
Emmerder le temps, celui qui passe, celui qui n'est plus, celui qu'on n'a pas, le temps d'un week end-mon amour.

Et puis aussi j'ai mangé un paquet de maltesers.
Et aussi on a failli tomber en panne d'essence, comme le conducteur du dimanche dont la presque panne m'a robustement fait glousser, 4 heures avant que nous-mêmes ne commencions à serrer les fesses en regardant d'un oeil torve l'aiguille tomber dans la redzone...

jeudi, juin 24

Menu / Journal / Appels reçus / Choix / Heure d'appel  

23 h 47
Demi-sommeil

- Tu dormais ?
- Mmmoui. Quesse tu fais ?
- Ben là je suis en train de t'aimer...


lundi, juin 21

Thank the Lord 









samedi, juin 19

Escape 

alors moi j'y dis:

Je suis nimbée d'incapacité relationnelle
Je nourris une robuste assuétude au concept de la fuite
Toute petite déjà
En 98
Quand mon papi était mort
Et qu'il était tout raide dans le funérarium réfrigéré parce que dehors c'était le mois d'août
En train de changer de couleur, avec du jus de cadavre qui coule sur sa chemise bleue
Je n'en menais pas large
Mais je donnais encore le change
Quand les cousins sont arrivés
Et qu'il a fallu dire bonjour
Je suis partie dans un coin dans un sanglot
Alors ma mère a dit tout fort
"Comme son père :
Courage, fuyons"
Ma mère
C'est un peu la dernière grande aventure de ce siècle
Et moi j'ai choisi la fuite

j'ai écrit à mon père pour la fête des pères
un truc super mélo
il va un peu halluciner
ou pas
ou il lira pas et il dira merci c'était très drôle
comme olivia les blogs
alors là je le piègerai je dirai NON
ce n'était pas drôle
ça se voulait émouvant ou au moins touchant
comme un collier de nouilles
mais en mieux
et là je lui dirai si toi aussi tu m'abandonnes
car tu étais le meilleur d'entre nous
alors tu vois
c'est comme moi

alors y m'dit :

en effet
c'est comme moi
j'ai été épargné par les cérémonies funéraires familiales jusqu'à présent
et ma mère, qui possède sûrement de robustes tendances castratrices et cyniques, les cache relativement bien pour le moment
et puis aussi
j'ai un coeur de pierre
mais je comprends pas mal le concept de fuite
que j'érige en style de vie
la preuve
tout petit déjà
il y a deux jours
j'ai vu des arabes arriver en face
et j'ai changé de trottoir
alors tu vois
c'est comme moi


mardi, juin 15

Plus facile pour les chameaux... 

"On se replie sur soi. Le contact avec l'autre devient une épreuve.
Les larmes ne sont plus très loin.
Plus goût à grand chose.
Marre de tout.
Et puis vient la colère. Colère contre cet état, colère contre soi.
Réflexe de survie, colère salvatrice.
...
Et puis il y a un jour où cela s'arrête.
...
Et on redevient le maître du monde."

Ca a l'air über facile pour lui.
Je soupçonne qu'il s'agit en fait d'un robuste pouvoir auto-suggestif.

Mais la vérité est ailleurs.
La totalité de mes fringues est lavée / repassée / rangée.
Et voilà. Moi aussi, je suis invincible.


Jusqu'à demain matin.
Le choix de la tenue sera alors encore plus interminable que d'habitude, puisque ne pouvant plus bénéficier de l'amputation idoine du stock textile des trucs froissés, nimbés de poils de chat, ou dont le statut de 'pas-propre-pas-sale' commence à devenir des plus dubitatifs.

Ou sinon demain je mets comme aujourd'hui, c'était pas mal, je me suis faite klaxonner par un poids lourd égrillard. C'était robuste.


Bon. 

J'aimerais qu'on arrêtât de se foutre de la gueule de mon rapport de stage (qui avance, voui voui, je rédige une robuste conclusion à l'heure qu'il est, 14h36, soit H-67 minutes avant l'écrasement du ciel prévu par Patrice Drevet).
question :
"l'occasion de faire le bilan" ou "l'occasion de dresser le bilan" ?
Je sais, on s'en fout, mais ne minimisez pas l'importance que peuvent avoir ces petits riens qui réussissent si bien à monopoliser votre attention et partant, vous rendre totalement improductif. C'est à ce genre de préoccupations futiles que bien des gens doivent leur salut en entreprise.

réponse :

plutôt :

la robuste occasion de dresser un bilan que l'on pourrait dire en demi-teinte, si tant est qu'il est possible de dresser un bilan d'une telle conjecture d'événements qui, pris séparément, semblent n'offrir que peu de prise au lecteur, mais qui dès lors qu'on les met en rapport en tentant une analyse comparée, permettent de déceler des trends voire des patterns du plus haut intérêt au regard du sujet qui nous occupe



(c'est pour ton rapport de stage ?)

Merci, vraiment, merci.
Et dire que je te croyais mon ami...

lundi, juin 14

Liste rouge 

le rapport de stage
une plage
des dvd
des huîtres
des vestiges de déménagement
cartons pour mon chat
six feet under
friends
les câlins
du melon
la plage
la Bretagne
les routes de campagne
les mêmes que vers keroual
moins de pins que vers cussac
un vide grenier
une banderole une kermesse
l'odeur des saucisses au barbecue
la crème indice 30
la route de fort saint père
la saison des festivals
les talus des bords de route
en fleurs
la plage
mon beau paréo
la Manche
nager dedans, loin
l'eau froide, nager vers le large
loin mais pas trop
revenir quand même
là où j'ai pied
là où y'a des bisous congelés
la voiture
les routes où on pourrait se croiser
avec les autres, les parisiens
qui seraient venus pour la bière et les guitares
la voiture
cette journée
qui préfigurerait d'autres journées
toujours le même trip d'été, plage et festival
ma main sur sa nuque
mal au bras, pas pratique
ma main sur sa cuisse
les fenêtres ouvertes
mes cheveux qui volent
la douche
le lait après solaire
des câlins
et puis aussi
des insomnies
l'angoisse
le cauchemar
les larmes
au milieu de la nuit
incompréhensible
la réveiller ?
prendre un tétrazépam ?
pleurer
sans raison
la boule dans le thorax
longtemps
sans raison
faire l'amour
avec désir
avec envie
mais commencer seulement
mais tout arrêter
au bout de quelques minutes
parce qu'on réalise qu'on est en train de fixer le plafond
les yeux grands ouverts pour empêcher les larmes de rouler
putain de bordel de merde
QU'EST-CE-QUE C'EST QUE CE TRUC ???

si c'est une dépression, c'est vraiment pas sympa
pas maintenant
j'ai pas le temps
pas que ça à foutre
déjà que je me fous à poil
sur Internet
après les plages naturistes
je teste les pages naturistes
car c'est la dernière grande aventure de ce siècle
une aventure des plus croquignolesques
tout de même
j'aimerais qu'on en fasse bien plus de cas
qu'on s'en émeuve
qu'on me traînasse dans la boue
qu'on me traîtasse d'inconsciente ou de perverse
qu'il se passâsse quelque chose quoi
as usual
car c'est bien là tout ce qu'on peut espérer
qu'il se passe quelque chose
provoquer un peu, mais avec une volonté des plus velléitaires en somme
et surtout attendre
que le wagon là, sur les montagnes russes de la vie arrive en haut de la côte
ou déraille
ce qui serait encore mieux
je file
la métaphore m'attend



vendredi, juin 11

Savoir cultiver la rareté 

de mes apparitions parisiennes est un art qui m'échappe à petit feu. Résultat : bientôt, on ne me dira même plus "tiens c'est cool de te voir", on trouvera ça normal.
Mais savoir cultiver les paradoxes, ça oui, je maîtrise.

Un week end sans télé, sans câble, sans internet. Vous y croyez vous ? C'est l'enfer. Bon ok, même si y'a un peu d'allongements sur le sable ou de trucs à faire dans le monde extérieur, ça laisse de robustes plages horaires pour surfer ou se caresser gentiment en regardant distraitement buffy ou friends ou the west wing ou QUE SAIS-JE ENCORE tout qu'est-ce-qu'on va rater hanlala.
Et pourtant je vais le faire, je vais m'auto infliger cette torture. Même pas je vais abréger le week end en conséquence, non-non, dès tout à l'heure, je vais m'enfermer dans un monde coupé du monde.
Pourquoi ?
Parce que je suis maso ?
En fait c'est exactement ça, en fait.
Mais tendance frigide alors en ce moment.
J'aime beaucoup ma maman, mais si je pouvais éviter de reproduire aussi ce schéma là... merci.



mercredi, juin 9

Robuste 

Parmi vous certains peut-être, à l'instar de Vérola (paix à son âme), commencent à en avoir marre de l'usage abusif que nous pratiquons, Stadtkind et moi-même, de certains mots.
Gageons qu'il ne vous aura pas échappé que nos posts se nimbent depuis quelques temps de robustes assertions, ou nourrissent d'acrimonieuses quoique roboratives considérations sur des sujets. Ou parfois sur des trucs.

Il faut rendre à César, ou sur César, ce qui lui appartient. Rien de tout cela n'aurait été possible sans l'existence de Matoo, dont les délicieux abus de langages et détournements de mots sont notre délectable et quotidienne première gorgée de bière. Il sait bien que je me fous un peu de sa gueule à ce sujet, mais ça le fait marrer, et puis il flirte avec le vocabulaire et l'orthographe de manière tout à fait vindicative, alors bon. Gageons qu'il s'en fout.
Mais nous, on éprouve une jouissance des plus robustes à prendre des mots, les sortir de leur contexte, et les utiliser avec force verve et grand fracas. Nous en avons même panthéonisé certains. « Robuste » est toujours grand vainqueur, « gageons que » se place en bonne place, « mutique » semble en perte de vitesse, mais gageons que ce n'est que temporaire.

Il est un mot que nous ne lui devons pas cependant, c'est le « truchement », dont Léo accoucha naguère, bien qu'elle soit psychopathe et que nous souhaitions éviter tout contact avec cette personne.

Nous détournons aussi de leur usage premier certaines expressions de notre amie Chacha, comme la conclusion systématique de tout échange mailistique ou téléphonistique par un larmoyant « tu me manques chacha tu viens quand ? » des plus croquignolesques. Surtout foutrement drôle quand les deux personnes se sont vues la veille. Mais de ça je ne peux vous entretenir, sinon elle serait capable de se reconnaître et d'en nourrir une certaine acrimonie. Gageons fort heureusement qu'elle a robustement égaré les adresses de nos blogs, que je lui ai redonnées il y a une éternité (lundi).

Alors voilà, notre lien gémellaire, que le monde entier nous envie, est fait de ça, de ces petits riens, de l'invention d'un langage, de l'exponentielle mise en abîme du concept de private joke.

Alors voilà, toi aussi, tu peux faire comme nous, tu peux dévoyer et dévergonder les mots, et nous soumettre ton ouvrage, en espérant que peut-être, nous t'invitions à rejoindre le mouvement.
Oui, tu peux essayer. Mais ne te leurre pas. De toutes façons, nous trouverons ça à chier.
Soit que ce le soit, et là nous en ferons nos gorges chaudes, pour la bonne bouche desquelles nous ne reculons devant aucune mise à mort, soit que ce soit génial, et là nous te détesterons d'avoir osé jouer mieux que nous de notre harpe linguistique, et nous danserons sur ton cadavre encore fumant des tripes duquel nos chiens auront débobiné 23 bons mètres.

Car dedans le lien gémellaire, nul ne saurait entreprendre quelque tentative d'intromission, la plus lubrifiée soit elle. C'est ainsi parce que nous le voulons ainsi. Nous aimons à nimber notre amitié d'une robuste exclusivité ; chasses gardées et terrains minés sont le secret de la longévité.

Ainsi parfois, nous convolerons peut-être en justes noces, comme nous nous l'étions jadis promis, sur le goudron de la cour principale sous le préau de l'internat.
Ainsi parfois, je passerai peut-être outre ma fatigue pour le revoir demain, dans l'île enchantée, par le truchement d'une robuste traversée de paris post-focus group (animal fatigué).
Pour l'amour d'icelui.
Parce que c'était moi, parce que c'était lui.

Je continue ou vous chialez déjà, bande de pleureuses ?







lundi, juin 7

Le C dans 30°C,  

c'est pour Canicule (aux chiottes Celsius).

Le jeu des grands esprits qui se rencontrent :
- grand esprit 1
- grand esprit 2

Le jeu de la télécommande, c'est souvent moi qui gagne.
Le jeu du rapport de stage, c'est T qui se classe premier, mais le jeu continue...
Le jeu de la fête des mères, c'est nul, je joue plus.

vendredi, juin 4

Rapports de stage 

Je fais une collecte.
Envoyez moi tous votre rapport de stage (celui de dernière année de préférence, en général avant c'est un peu court et on n'a pas encore saisi toutes les subtilités de Word comme la fonction justifier) à l'adresse mienne, que vous connaissez bien puisque vous passez votre temps à me faire suivre des virus.
Si vous l'avez oubliée, elle est indiquée à de multiples endroits sur cette page, notamment dans la so called saïde barre.

Sont principalement attendus : les rapports de stage touchant au marketing et/ou à la science.
Sont cordialement priés de ne rien envoyer : les geeks qui ont conçu un jeu vidéo pour Amstrad CPC464, les cons qui ont fait des photocopies et du café, les incompétents qui ont fait leur stage dans la boite de papa, les fumistes dont le rapport de stage est DEJA un pomme-cé-pomme-vé de celui du voisin.

Je jure sur la bible d'en faire bon usage, de piller honteusement tout ce qui m'aura été fourni, de ne pas citer mes sources, de ne pas remercier quiconque, et de tout recommencer dans 15 jours pour la présentation powerpoint assortie.

jeudi, juin 3

Mauvais oeil 

15h58 : mon pantalon en lin NEUF du Comptoir-des-Cotonniers-bande-d'escrocs (105 ?, merci les cons), présente de nets signes de décousage au niveau de la chatte.
La plaie mesure environ 2 cm pour le moment.
Je crains que le moindre mouvement n'entraîne une déhiscence des sutures, c'est pourquoi je reste assise et je glande à mon bureau au lieu de me lever pour faire des trucs utiles.
Je demande instamment à cette personne de retirer le mauvais oeil qu'elle a jeté sur moi, tout ça parce que je ne peux pas me rendre à son anniversaire en plus, c'est d'un mesquin.
Je demande instamment à mon cerveau tout pourri de se souvenir de ce fait demain matin au moment pénible du choix des vêtements du jour.
Sivouplé merci.

Pendant ce temps, 

Partout dans le monde,

le tourguenisme avance,

et le végétarianisme recule.

Et c'est bien dommage.

Le retour du moi, épisode dépressif  

Bon voilà, finies les vacances, c'était merveilleux, je suis tombée amoureuse de Berlin, retour à la réalité, avec trop de taf.
En plus le genre de trucs que je déteste.
Si mon envie de pas travailler était une distance, ce serait la distance de la Terre à la Lune.

J'ai pas non plus très envie d'écrire, c'est nul le français comme langue, je vais me consacrer à la réalisation artisanale de patchworks photomontagesques, étant donné l'accueil dithyrambique que vous avez réservé au précédent (ne cherchez plus, j'ai effacé vos 256223 commentaires admiratifs, ça me faisait tourner la tête).

On est déjà Jeudi, toujours pas de nouvelles maternelles concernant mon indispensable présence à Légumeland ce week end... Me serais-je trompé de date ? Aurait-elle oublié ? Je fais la morte, je serre les fesses...

Concernant mes clopes trop light, je m'attèle courageusement à la destruction du stock, en usant de la pratique jadis par moi méprisée, car assimilée dans son rang social au statut d'éternel taxeur de clopes qui EN PLUS de t'avoir pillé ton paquet, te fait outrageusement sentir par cet acte anti-écologique que tu fumes pas la bonne marque et partant, que tu es vraiment un loose, pratique donc du désépaississement de filtre.
C'est facile en fait, maintenant j'y arrive même en conduisant, suffit de tenir la clope vide avec ta bouche, le volant avec tes genoux, de rester en seconde à 32 sur une artère dégagée, et de patiemment émietter le filtre par la fenêtre avec tes 10 ongles. Faut être un peu bricoleur quoi, stout.

On m'a fait remarquer ce matin que ma valise vide et ouverte, qui a élu domicile au milieu du parquet de mon petit salon, pourrait avantageusement bénéficier d'une délocalisation vers un coin de la chambre.
Ce à quoi j'ai répondu "tu vois le magnétoscope là ? eh ben il est posé là depuis janvier, sans avoir pour autant subi les mesures de branchement adéquates. Et tu vois ce sac sonar par terre ? Eh ben il contient des culottes sales du mois de février, et sans doute aussi certains cd que je cherche partout. Alors tu vois la valise, personne ne peut prédire le moment de sa mobilisation"
Et j'ai même ajouté in petto : et maintenant que tu me l'as fait remarquer, je vais certainement inconsciemment rechigner ENCORE plus longtemps, par esprit de contradiction. Parce que cette valise au sol, finalement elle ne me gêne pas tant que ça, il me suffit de l'enjamber 25 fois par jour. Je peux peut-être même lui allouer une fonction roborative comme celle de range-cd ou panier de linge sale... Alors bon.

Vous avez vu comment ce post répond brillamment et point par point aux problématiques soulevées dans le post précédent ? C'est parce que j'ai de la suite dans les idées, moi.


mardi, juin 1

Faire-part de décès 

Je suis au regret de vous informer qu'au terme d'une longue agonie bruyante, asmathiforme, malodorante et plus très chauffante, mon sèche-cheveux vient de passer de vie à trépas, après à peine 3388472 brushings de bons et loyaux services.
Cruelle est la vie.
Il faut bien pourtant qu'elle continue.
Même si je viens de réaliser que les clopes pas chères que j'ai ramenées de Berlin sont des super super light, ce qui est très décevant.
Même si au terme d'une réunion de service, il s'avère que j'ai pas mal de trucs à faire de façon un peu urgente.
Même si la france est vraiment un pays de cons par rapport à Berlin, et alors la Mayenne je vous en parle même pas.
Même si je risque fort de devoir me rendre à la maison de retraite de Légumeland ce week end pour un genre de devoir familial très inopportun.
Même si Anastacia a une tumeur mammaire.

Même si, et pourtant.

Qui parmi vous peut se vanter d'avoir vu Jimmy Sommerville en concert samedi dernier ? On est d'accord. Prosternez-vous.

Warum ? 







sind die Ferien schon fertig ?
France sucks.

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